D’entrée de jeu, sans détour rhétorique ni fla-fla sémantique, j’atteste ceci: la plupart des dirigeants qui nous gouvernent dans notre monde arabe sont atteints de ce terrible syndrome de l’ego démesuré dont les conséquences sur nos populations sont – comme nous sommes en train de le constater, hélas! – encore plus dévastatrices. Cela me rappelle un excellent livre que j’avais lu quand j’avais 16 ans: Ces malades qui nous gouvernent, écrit par deux brillants esprits, Pierre Accoche et Pierre Rentchnick.
Dans leur fameux livre, ils relataient des histoires peu connues du grand public concernant l’état de santé (mentale et physique) des grands dirigeants du monde, en essayant avec brio, de mesurer son influence sur le déroulement des événements de l’histoire de leurs peuples respectifs – et de l’Histoire tout court.
En interrogeant l’éminent professeur Jean Bernard, voici ce que les auteurs du livre nous révèlent d’inquiétant sur ce sujet:
Bien que les résultats du livre aient été publiés il y a plusieurs décennies, ces révélations ne sont, aujourd’hui, qu’encore plus vraies – pour ne pas dire…plus désastreuses. S’agissant des dirigeants malades du Monde arabe, pour combien de temps encore devrions-nous payer les frais de leur sinistre psychose? c. m
Dans leur fameux livre, ils relataient des histoires peu connues du grand public concernant l’état de santé (mentale et physique) des grands dirigeants du monde, en essayant avec brio, de mesurer son influence sur le déroulement des événements de l’histoire de leurs peuples respectifs – et de l’Histoire tout court.
En interrogeant l’éminent professeur Jean Bernard, voici ce que les auteurs du livre nous révèlent d’inquiétant sur ce sujet:
Lorsque j’ai soigné des hommes politiques de haut rang, j’ai souvent été surpris de la crédulité que manifestaient ces dirigeants vis-à-vis des médecines parallèles…. Il faut tenir compte de la mentalité très particulière de ces malades qui nous gouvernent et qui refusent d’une part, de considérer leur état de santé comme incompatible avec la direction d’un pays ou d’une armée, et d’autre part, d’admettre que les conséquences de leur maladie peuvent être graves pour leurs concitoyens…
Bien que les résultats du livre aient été publiés il y a plusieurs décennies, ces révélations ne sont, aujourd’hui, qu’encore plus vraies – pour ne pas dire…plus désastreuses. S’agissant des dirigeants malades du Monde arabe, pour combien de temps encore devrions-nous payer les frais de leur sinistre psychose? c. m