Vision
Moaen shalabia
J'avais pensé, Ô mon amie
Que la lecture d'un poème
Pourrait être un caprice ou bien un ébahissement
Ou alors des murmures d'un feu
Et j'avais imaginé Ô ma belle
Qu'écrire un poème
Pourrait être une idée ou une danse ou alors de la vigueur
Et j'avais imaginé Ô ma chérie
Que la féminité
Pourrait être une agilité de la révélation/ du dévoilement
Ou alors un frisson de l'éblouissement/ de la fascination
Et j'avais pensé Ô ma princesse
Qu'il se peut que ta liaison sauvage
Soit une tendance ou une lampée ou bien de l'ambre
Et j'avais imaginé Ô ma plus chère que le chagrin
Est une patrie pareille à tous les miroirs et les mers
Et j'avais imaginé Ô mon assassine, que la mort est enveloppée
De toutes les raisons de l'accession,
Et il se peut qu'elle complète la déficience/ la diminution
Et j'avais cru Ô mon inspiratrice que l'amour est une langue
Qui vient d'un seul coup, sans qu'on ne l'attende
Et j'ai imaginé Ô ma bien-aimée
Que le rêve est une pensée immémoriale
Qui ne cesse de tournoyer
Et que l'âme et que le corps Ô ma séductrice
Une flûte de la ferveur du jour
Néanmoins, je n'ai jamais imaginé
Que ton départ éternel
Allait finir le temps et annihiler les lieux
Et que l'amour Ö mon amie allait
Accomplir mon ascension vers mon précipice/ gouffre
Même si c'était un suicide………
Vision
Moaen shalabia
J'avais pensé, Ô mon amie
Que la lecture d'un poème
Pourrait être un caprice ou bien un ébahissement
Ou alors des murmures d'un feu
Et j'avais imaginé Ô ma belle
Qu'écrire un poème
Pourrait être une idée ou une danse ou alors de la vigueur
Et j'avais imaginé Ô ma chérie
Que la féminité
Pourrait être une agilité de la révélation/ du dévoilement
Ou alors un frisson de l'éblouissement/ de la fascination
Et j'avais pensé Ô ma princesse
Qu'il se peut que ta liaison sauvage
Soit une tendance ou une lampée ou bien de l'ambre
Et j'avais imaginé Ô ma plus chère que le chagrin
Est une patrie pareille à tous les miroirs et les mers
Et j'avais imaginé Ô mon assassine, que la mort est enveloppée
De toutes les raisons de l'accession,
Et il se peut qu'elle complète la déficience/ la diminution
Et j'avais cru Ô mon inspiratrice que l'amour est une langue
Qui vient d'un seul coup, sans qu'on ne l'attende
Et j'ai imaginé Ô ma bien-aimée
Que le rêve est une pensée immémoriale
Qui ne cesse de tournoyer
Et que l'âme et que le corps Ô ma séductrice
Une flûte de la ferveur du jour
Néanmoins, je n'ai jamais imaginé
Que ton départ éternel
Allait finir le temps et annihiler les lieux
Et que l'amour Ö mon amie allait
Accomplir mon ascension vers mon précipice/ gouffre
Même si c'était un suicide………