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النص الأصـــــــــــلي
ذاكِرة الشِتاء
الكاتب / عمر مسلط
غيومٌ تملأ السماء ، الضباب بدأ يتكاثر ، أمطار خفيفة بدأت تتساقط ، نَظرت إلى ساعتها ، إنتهى
وقت العمل ، إنتابها شيءٌ من القلق ، تناولت حقيبتها السوداء ، وضَعت وشاحها الخمري على كتفيها
أغلقت باب المكتب ، نزلت إلى الشارع ، وقفت على حافة الرصيف ، أخذت تُراقب الناس المُسرعين
تحت المطر ، لَمَحت الحافلة تقترب ، صَعدت إليها ، المطر يزداد غزارة ، جلست بجانب النافذة
أخذها خيالها بعيداً ، ذكريات الشتاء لم تزل تُؤلمها ، صوت المطر المُرتطم بالنافذة يَعزف على جِراحها ،
تأخذها الأحلام بعيداً ، يوقظها فجأةً صوتُ رسالة إلى هاتفها الجوال ، صوت الرعد بدا مُخيفاً ،
ترتبك قليلاً ... تفتح الرسالة ... تقرأُها ... تُغلق هاتفها ... تتأمل الشجر الواقف وحيداً تحت المطر ...
تَبتَسم .... تضع رأسها على النافذة ، وتَشعُر بِرَغبةٍ في البكاء ...
الترجمة للفرنسية: الأديبة المترجمة
منيرة الفهري
منيرة الفهري
Mémoire d’hiver
Des nuages partout dans le ciel … le brouillard commence à être dense. De la pluie fine se met à tomber.
Elle regarde l’heure. Il est temps de rentrer chez elle.
Elle se sent brusquement inquiète. Elle prend son sac noir, met son foulard rouge bordeaux sur ses épaules,ferme la porte de son bureauet sort.
Elle s’est arrêtée au bord du trottoir. Elle observe les gens qui se précipitent sous la pluie.
Elle voit venir le bus et y monte.
Maintenant il pleut à torrents. Elle se met du côté de la fenêtre.
Son imagination l’emporte loin, très loin.
Les souvenirs de l’hiver la peinent encore.
Le son de la pluie tapant sur la fenêtre accentue ses blessures.
Ses rêves l’emportent loin.
Le bip d’un message sur son portable la réveille de ses pensées.
La clameur du tonnerre commence à être effrayante
Elle se sent un peu confuse, ouvre le message...le lit…ferme son portable et observe admirablement les arbres qui se tiennent debout seuls sous la pluie.
Elle sourit…pose la tête sur la fenêtre…et sent une envie folle de pleurer
Elle regarde l’heure. Il est temps de rentrer chez elle.
Elle se sent brusquement inquiète. Elle prend son sac noir, met son foulard rouge bordeaux sur ses épaules,ferme la porte de son bureauet sort.
Elle s’est arrêtée au bord du trottoir. Elle observe les gens qui se précipitent sous la pluie.
Elle voit venir le bus et y monte.
Maintenant il pleut à torrents. Elle se met du côté de la fenêtre.
Son imagination l’emporte loin, très loin.
Les souvenirs de l’hiver la peinent encore.
Le son de la pluie tapant sur la fenêtre accentue ses blessures.
Ses rêves l’emportent loin.
Le bip d’un message sur son portable la réveille de ses pensées.
La clameur du tonnerre commence à être effrayante
Elle se sent un peu confuse, ouvre le message...le lit…ferme son portable et observe admirablement les arbres qui se tiennent debout seuls sous la pluie.
Elle sourit…pose la tête sur la fenêtre…et sent une envie folle de pleurer
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