Périple dans un sourire
A ma fillette Aya
Viens dans mes bras et laisse ton sourire
Verdir ma vie et mes nuits éclaircir
Montre – moi tes joyaux blancs
Et tes beaux regards innocents
Cours et laisse pousser en moi
La lueur des minutes qui verdoient
Colombe douce voltigeant mes jours
Ma fillette, ma grande, toi mon amour
Toi mes tourments des minuits fébriles
Où tes souffles passaient tels un fil
Accrochant mon cœur aux aurores
Fastes, auréolées de ton petit corps
Jouissant de vie, de bienveillance et de bonté
Comblant mes jours de béatitude et de clarté
Aya mon âme, ma princesse de toujours
Rappelle-toi bien que si un jour
Mon étoile s’éteint et arrive mon trépas
Rappelle-toi et surtout ne pleure pas : i
Si même s’effaçait l’âme qui m’habitait
Jamais ton sourire ne me quitterait. i
A ma fillette Aya
Viens dans mes bras et laisse ton sourire
Verdir ma vie et mes nuits éclaircir
Montre – moi tes joyaux blancs
Et tes beaux regards innocents
Cours et laisse pousser en moi
La lueur des minutes qui verdoient
Colombe douce voltigeant mes jours
Ma fillette, ma grande, toi mon amour
Toi mes tourments des minuits fébriles
Où tes souffles passaient tels un fil
Accrochant mon cœur aux aurores
Fastes, auréolées de ton petit corps
Jouissant de vie, de bienveillance et de bonté
Comblant mes jours de béatitude et de clarté
Aya mon âme, ma princesse de toujours
Rappelle-toi bien que si un jour
Mon étoile s’éteint et arrive mon trépas
Rappelle-toi et surtout ne pleure pas : i
Si même s’effaçait l’âme qui m’habitait
Jamais ton sourire ne me quitterait. i
Le: 03/11/2008
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