تويت
Hommage à Haj Khali Moha de Limoges! I
Haj Khali Moha, tu n’es pas parti! Tu resteras présent dans mon cœur et mon esprit. I
Je n’ai pas fait de rencontres magiques dans ma vie, mais celle que j’ai eu l’occasion de faire lors de notre visite de Limoges et notre séjour, ma petite famille et moi, chez khali Moha en était vraiment une. C’est la plus délectable des rencontres que j’aie jamais faite, la plus magique de toutes. Khali Moha m’a ébloui par sa manière de se comporter avec son épouse Khalti Fatima : Quand elle parlait il l’écoutait jusqu’au bout, il ne l’interrompait jamais. Quel respect ! Quelle galanterie ! Quel art de vivre ! khali Moha était un homme qui savait écouter. Je n’oublierai jamais sa manière délicatement délicieuse de plaisanter avec ses enfants et ses petits enfants. Je n’ai jamais vu homme aussi généreux que lui. Les longues heures que j’ai passées en sa compagnie à la grande mosquée de Limoges étaient pour moi les heures les plus sereines et les plus exquises de ma vie. Si je le pleure aujourd’hui c’est parce que le destin m’a contrarié, moi qui espérais le revoir et m’entretenir avec lui car je n’avais pas fini de lui dire tout ce que j’avais à lui dire. J’ai toujours souhaité le rerencontrer pour pleurer dans ses bras et lui dire combien je l’admirais, combien j’ai admiré être à ses côtés , mais aussi pour lui dire à voix haute qu’en le rencontrant, j’ai très rapidement découvert en lui l’image du grand frère, du beau- père dont j’ai toujours rêvé, que depuis cette rencontre sa voix me hante, son style, ses manières, son mode de vie, sa simplicité, son ouverture d’esprit, sa magnanimité, ses qualités de vrai musulman me sont inoubliables. I
Khali Moha, Je n’ai pas encore fini l’histoire que j’ai commencé à te confier, je vivais avec l’espoir de tout te dire car j’avais confiance en la grandeur de ton esprit et la sagesse de ton âme. J’avais la certitude que tu saurais apaiser mes peines, calmer mes douleurs et essuyer mes larmes. Khali Moha tu es parti en me donnant la sensation que je suis devenu orphelin de nouveau ! Khali Moha, je sais que tu peux dans ta tombe sentir ma douleur, mon amertume et mes gémissements. Ton départ définitif me déchire le cœur. Les liens que nous, toi et moi, avons tissés sont tellement forts que le temps ne peut me les faire oublier. I
Khali Moha, que j’ai tant aimé ! La vie est injuste, elle s’acharne à nous séparer des gens que nous chérissons. Khali Moha tu sais - comme tu me l’avais signalé le jour où nous sommes allés seuls la nuit rendre visite à l’un de tes amis aux alentours de Limoges- que je suis sensible, que je porte en ma poitrine un cœur blessé et que je ne peux t’oublier. Si j’ai à être fier de quoi que ce soit, sache khali Moha que je le suis de t’avoir rencontré avant ton départ et de pouvoir garder avec moi les quelques photos que nous avons pu faire ensemble, c’est là l’une de mes grandes fiertés. I
Khali Moha, i
J’implore Allah le tout puissant de t’accueillir dans son vaste paradis et que tu reposes en paix en compagnie des prophètes, des saints et des martyrs. I
Qu'Allah t’accueille en son paradis. Je tiens à présenter mes sincères condoléances à ta petite Famille: Khalti Fatima ton épouse qu' Allah l'aide à surmonter cette peine, Tes enfants: Rabha, Latifa, Abderrahim,Noureddine et Abdelali qu'ALLah leur accorde suffisamment de patience. Nous sommes à Dieu et à lui nous retournons. ALLAH yarhamak ya Khali....... i
Haj Khali Moha, tu n’es pas parti! Tu resteras présent dans mon cœur et mon esprit. I
Je n’ai pas fait de rencontres magiques dans ma vie, mais celle que j’ai eu l’occasion de faire lors de notre visite de Limoges et notre séjour, ma petite famille et moi, chez khali Moha en était vraiment une. C’est la plus délectable des rencontres que j’aie jamais faite, la plus magique de toutes. Khali Moha m’a ébloui par sa manière de se comporter avec son épouse Khalti Fatima : Quand elle parlait il l’écoutait jusqu’au bout, il ne l’interrompait jamais. Quel respect ! Quelle galanterie ! Quel art de vivre ! khali Moha était un homme qui savait écouter. Je n’oublierai jamais sa manière délicatement délicieuse de plaisanter avec ses enfants et ses petits enfants. Je n’ai jamais vu homme aussi généreux que lui. Les longues heures que j’ai passées en sa compagnie à la grande mosquée de Limoges étaient pour moi les heures les plus sereines et les plus exquises de ma vie. Si je le pleure aujourd’hui c’est parce que le destin m’a contrarié, moi qui espérais le revoir et m’entretenir avec lui car je n’avais pas fini de lui dire tout ce que j’avais à lui dire. J’ai toujours souhaité le rerencontrer pour pleurer dans ses bras et lui dire combien je l’admirais, combien j’ai admiré être à ses côtés , mais aussi pour lui dire à voix haute qu’en le rencontrant, j’ai très rapidement découvert en lui l’image du grand frère, du beau- père dont j’ai toujours rêvé, que depuis cette rencontre sa voix me hante, son style, ses manières, son mode de vie, sa simplicité, son ouverture d’esprit, sa magnanimité, ses qualités de vrai musulman me sont inoubliables. I
Khali Moha, Je n’ai pas encore fini l’histoire que j’ai commencé à te confier, je vivais avec l’espoir de tout te dire car j’avais confiance en la grandeur de ton esprit et la sagesse de ton âme. J’avais la certitude que tu saurais apaiser mes peines, calmer mes douleurs et essuyer mes larmes. Khali Moha tu es parti en me donnant la sensation que je suis devenu orphelin de nouveau ! Khali Moha, je sais que tu peux dans ta tombe sentir ma douleur, mon amertume et mes gémissements. Ton départ définitif me déchire le cœur. Les liens que nous, toi et moi, avons tissés sont tellement forts que le temps ne peut me les faire oublier. I
Khali Moha, que j’ai tant aimé ! La vie est injuste, elle s’acharne à nous séparer des gens que nous chérissons. Khali Moha tu sais - comme tu me l’avais signalé le jour où nous sommes allés seuls la nuit rendre visite à l’un de tes amis aux alentours de Limoges- que je suis sensible, que je porte en ma poitrine un cœur blessé et que je ne peux t’oublier. Si j’ai à être fier de quoi que ce soit, sache khali Moha que je le suis de t’avoir rencontré avant ton départ et de pouvoir garder avec moi les quelques photos que nous avons pu faire ensemble, c’est là l’une de mes grandes fiertés. I
Khali Moha, i
J’implore Allah le tout puissant de t’accueillir dans son vaste paradis et que tu reposes en paix en compagnie des prophètes, des saints et des martyrs. I
Qu'Allah t’accueille en son paradis. Je tiens à présenter mes sincères condoléances à ta petite Famille: Khalti Fatima ton épouse qu' Allah l'aide à surmonter cette peine, Tes enfants: Rabha, Latifa, Abderrahim,Noureddine et Abdelali qu'ALLah leur accorde suffisamment de patience. Nous sommes à Dieu et à lui nous retournons. ALLAH yarhamak ya Khali....... i
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