Sghipouna, mon inspiratrice .... i
Chaque mot de toi parfumait ma journée. i
Chaque sourire de toi me rendait léger. i
Chacun de tes regards m’ouvrait des horizons. i
Combien j’aimais être en ta présence ! i
Même si nous n’avions rien à nous dire, i
Tu me comprenais, tu écoutais mon mutisme. i
Je te décrivais l’ossature de mes douleurs, i
De mes journées passées loin de toi, i
Taciturne, tu écoutais mes passions, i
Tu souriais, tu restais sur la réserve. i
Je te comprends jusqu’au silence. i
Je t’aime, je t’aimerai comme je t’aimais. i
Ton amour me consume jusqu’à la moelle. i
Je brûle de passion, l’amour m’embrase, i
De mes cendres pousseront des primevères. i
Rose jaune, oh! Laurier de ma couronne, i
Grand mensonge! Permanentes oscillations! i
Amour, de tous les cœurs, le mien ta belle demeure. i
Je t’aime, noble ingrate, tu m’empêches de grandir. i
Tu m’emprisonnes dans mes années d’antan. i
Je voudrais t’entendre, te voir, te toucher. i
Salvatrice, extrais-moi de la médiocrité. i
Libératrice, offre-moi la raison d’espérer. i
Pourrais-je, dans mes rêves, un jour te retrouver? i
Exprime-toi, que je puisse ta pensée explorer, i
De l’à-peu-près ne sois plus jamais satisfaite. i
De ce qui t’encombre tente de te débarrasser. i
Du poids de l’acquis défais-toi, des références. i
Eclaircis ta révolte, laisse, de toi, parler l’inné. i
Avec ta plume ne m’écris plus, mais de ton ventre. i
Mustapha EL OMARI
Chaque sourire de toi me rendait léger. i
Chacun de tes regards m’ouvrait des horizons. i
Combien j’aimais être en ta présence ! i
Même si nous n’avions rien à nous dire, i
Tu me comprenais, tu écoutais mon mutisme. i
Je te décrivais l’ossature de mes douleurs, i
De mes journées passées loin de toi, i
Taciturne, tu écoutais mes passions, i
Tu souriais, tu restais sur la réserve. i
Je te comprends jusqu’au silence. i
Je t’aime, je t’aimerai comme je t’aimais. i
Ton amour me consume jusqu’à la moelle. i
Je brûle de passion, l’amour m’embrase, i
De mes cendres pousseront des primevères. i
Rose jaune, oh! Laurier de ma couronne, i
Grand mensonge! Permanentes oscillations! i
Amour, de tous les cœurs, le mien ta belle demeure. i
Je t’aime, noble ingrate, tu m’empêches de grandir. i
Tu m’emprisonnes dans mes années d’antan. i
Je voudrais t’entendre, te voir, te toucher. i
Salvatrice, extrais-moi de la médiocrité. i
Libératrice, offre-moi la raison d’espérer. i
Pourrais-je, dans mes rêves, un jour te retrouver? i
Exprime-toi, que je puisse ta pensée explorer, i
De l’à-peu-près ne sois plus jamais satisfaite. i
De ce qui t’encombre tente de te débarrasser. i
Du poids de l’acquis défais-toi, des références. i
Eclaircis ta révolte, laisse, de toi, parler l’inné. i
Avec ta plume ne m’écris plus, mais de ton ventre. i
Mustapha EL OMARI
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