وطأة يتم
بـــدريــة مــصطفــىأيتها السماء
إلى مدى الرأفة ارحلي بي
معراج حنين
بين رحمتين صخريتين
مغموس بصمت
تحت التراب دفء قلبين
بينهما أتمدد يتماً
يلملمني الشتات تحت
ملاءة النقم
تتهجاني زبر الحزن
أقاوم سكرات الوحشة
استسلم بهدوء .
أين أنا؟
من يقنع الموت بي ؟؟
الأجداث تربت علي
ظفرت بالدمع و جدب الفرح
مجروح أم جريح
ماتت الدلائل بجوف الفناء
ملامحي يرتشفها
طقوس حنينٍ لوجه الأمان
خفقاتي غفلة الليل
تؤنسها هبات السراب
فهل سيسعفني البكاء ؟
سأعود محملاً بخنوعي
يسرجني الفراغ ..
قبورٌ تحرسني
يكاد يئن صمتها
لو لم يمسسه حنين
قلوب ٌ لاجئة
تموت كل صلاة
تذوب كلما نهش الفقد براءتها
من يهدهدني ؟
من سيقبلني
والروح غصةٌ لطيمة ..
أمي .. أبي
عانقاني على نشيجٍ مضطهد
سلبوني اسمي
وقبلةً مؤجلة لحين خواء ..
ها قد ندم القمر
والسماء تجهش مطمئنة
توسدت الحصى
وقدم السكينة عارية
أيها الموت
خذني مكافأةً غضة
خذني لفردوس تطل عليهما
أنا بذرة بؤسٍ خصبة
تزهو في قلبي قيامة أنين ..
كل شيء بات يعاقبني
عتمةٌ تهدهد الأمان
تدحرج وحشةً قاتمة
أصيخ لعزلتي بلا كلل ..
سأغمض عيني
على بعد عبرتين
ينتظرني حلمٌ يستيقظ
فيه أمي و أبي
ابتاعا لي جناحين
أين أنا؟
من يقنع الموت بي ؟؟
الأجداث تربت علي
ظفرت بالدمع و جدب الفرح
مجروح أم جريح
ماتت الدلائل بجوف الفناء
ملامحي يرتشفها
طقوس حنينٍ لوجه الأمان
خفقاتي غفلة الليل
تؤنسها هبات السراب
فهل سيسعفني البكاء ؟
سأعود محملاً بخنوعي
يسرجني الفراغ ..
قبورٌ تحرسني
يكاد يئن صمتها
لو لم يمسسه حنين
قلوب ٌ لاجئة
تموت كل صلاة
تذوب كلما نهش الفقد براءتها
من يهدهدني ؟
من سيقبلني
والروح غصةٌ لطيمة ..
أمي .. أبي
عانقاني على نشيجٍ مضطهد
سلبوني اسمي
وقبلةً مؤجلة لحين خواء ..
ها قد ندم القمر
والسماء تجهش مطمئنة
توسدت الحصى
وقدم السكينة عارية
أيها الموت
خذني مكافأةً غضة
خذني لفردوس تطل عليهما
أنا بذرة بؤسٍ خصبة
تزهو في قلبي قيامة أنين ..
كل شيء بات يعاقبني
عتمةٌ تهدهد الأمان
تدحرج وحشةً قاتمة
أصيخ لعزلتي بلا كلل ..
سأغمض عيني
على بعد عبرتين
ينتظرني حلمٌ يستيقظ
فيه أمي و أبي
ابتاعا لي جناحين
Joug de délaissement
ô Ciel
Aux étendues d’apitoiement
Emmène-moi
Périple nostalgique
Entre deux pitiés rocheuses
Trempé de silence
Sous les sables
Ensevelie la ferveur de deux cœurs
Délaissé, je m’y étends
Me recueillit l’éparpillement
Sous le drap de la répugnance
M’épellent les Psaumes mélancoliques
J’affronte les agonies de l’appréhension
Sous l’entrave du fourvoiement
Je m’incline posément. i
Où suis-je ?? I
Qui persuaderait, de mon trépas, la mort ?? i
Les tombes me consolent
Blessé ou affligé
Trépassèrent les preuves
au cœur du l’anéantissement
Mes traits se dissolvent dans les rituels nostalgiques au minois de la quiétude
Amnésie de la nuit furent mes pulsations
Accompagnées de souffles de chimère
Mes pleurs m’apaiseraient-ils alors ? i
Je reviendrai endossant ma soumission
Me selle le néant
Des tombes me gardent
Son silence aurait failli gémir
Si le spleen ne l’avait pas effleuré
Cœurs réfugiés
Trépassent à chaque prière
Fondent chaque fois que le dénuement happe
leur innocence.i
Qui me dorloterait ? i
Qui m’embrasserai
.. et l’âme amertume intempestive
Mère … Père
Etreignez-moi sur un sanglot opprimé
Ils m’usurpèrent mon nom
..et une Qibla sursise à une vacuitéô Ciel
Aux étendues d’apitoiement
Emmène-moi
Périple nostalgique
Entre deux pitiés rocheuses
Trempé de silence
Sous les sables
Ensevelie la ferveur de deux cœurs
Délaissé, je m’y étends
Me recueillit l’éparpillement
Sous le drap de la répugnance
M’épellent les Psaumes mélancoliques
J’affronte les agonies de l’appréhension
Sous l’entrave du fourvoiement
Je m’incline posément. i
Où suis-je ?? I
Qui persuaderait, de mon trépas, la mort ?? i
Les tombes me consolent
Blessé ou affligé
Trépassèrent les preuves
au cœur du l’anéantissement
Mes traits se dissolvent dans les rituels nostalgiques au minois de la quiétude
Amnésie de la nuit furent mes pulsations
Accompagnées de souffles de chimère
Mes pleurs m’apaiseraient-ils alors ? i
Je reviendrai endossant ma soumission
Me selle le néant
Des tombes me gardent
Son silence aurait failli gémir
Si le spleen ne l’avait pas effleuré
Cœurs réfugiés
Trépassent à chaque prière
Fondent chaque fois que le dénuement happe
leur innocence.i
Qui me dorloterait ? i
Qui m’embrasserai
.. et l’âme amertume intempestive
Mère … Père
Etreignez-moi sur un sanglot opprimé
Ils m’usurpèrent mon nom
Voilà que regretta la lune
Et le ciel sereinement sanglota
Sur cailloux repose ma tête
Et nu fut le pied de la quiétude
ô Trépas
Prend-moi faveur tendre
Prend-moi pour un paradis se penchant sur eux
Semence de pénurie fus je
Apocalypse de lamentation dans mon cœur se vante
Tout passa la nuit à me châtier
Pénombre dorlotant la quiétude
Animant ce sombre délaissement
Me vouant sans lassitude
à ma solitude
Je fermerai mes yeux
Sur deux larmes
Se réveille et m’attend un rêve
où ma mère et mon père
Deux ailes m’achetèrent. i
Et le ciel sereinement sanglota
Sur cailloux repose ma tête
Et nu fut le pied de la quiétude
ô Trépas
Prend-moi faveur tendre
Prend-moi pour un paradis se penchant sur eux
Semence de pénurie fus je
Apocalypse de lamentation dans mon cœur se vante
Tout passa la nuit à me châtier
Pénombre dorlotant la quiétude
Animant ce sombre délaissement
Me vouant sans lassitude
à ma solitude
Je fermerai mes yeux
Sur deux larmes
Se réveille et m’attend un rêve
où ma mère et mon père
Deux ailes m’achetèrent. i
Traduit par : Abdelmjid Barzani
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