Une documentation universelle sur le succès et ses histoires est tellement abondante qu’elle donnerait le vertige à quiconque tenterait d’en faire la recension exhaustive. Mais qu’en est-il de l’échec? Le chiffre, en toute vraisemblance, risque d’être moins impressionnant. Beaucoup moins.
Et pour cause.
Rares sont les livres qui ont été consacrés en partie ou en totalité à la question de l’échec. Si la majorité des gens sont amenés plus facilement à parler de leurs exploits dans la vie personnelle – éducation des enfants, amour, bien-être, biens matériels, etc.- ou professionnelle – diplômes, carrière, projet, etc., ils sont généralement moins friands à documenter leurs échecs. Il s’agit d’une attitude quasi spontanée. Personne ou presque ne souhaite contribuer naïvement à sa baisse de popularité auprès des siens. Car le succès semble être une affaire d’égo avant d’être le résultat de nos efforts. Ce n’est pas pour rien qu’il est dit: La réussite a beaucoup de parents; l’échec, lui, est orphelin.
Et pourtant.
Je me suis penché sur cette question de l’échec pour tenter d’en comprendre le mécanisme.
En fouillant dans la vie des grands personnages historiques, j’ai été stupéfait en constatant que le plus grand nombre d’entre eux – pour ne pas dire tous sans exception – sont d’abord passés par une série d’échecs dans pratiquement tous les domaines de leurs vies respectives: relations interpersonnelles, familiales, professionnelles, etc!
Mieux encore: la plupart de ces personnalités qui ont marqué l’histoire et qui ont influencé des milliers voire des millions de gens sont devenues ce qu’elles sont aujourd’hui d’abord et avant tout grâce à leurs échecs.
Dans l’un des rares livres consacrés à la question de l’échec, je me souviens d’avoir lu quelque chose du genre:
Si vous n’êtes pas tombé au moins trois fois, c’est que vous n’êtes pas vraiment en train d’essayer.
Cela veut tout dire. Il n’est de réussite possible et permanente sans un échec répétitif. Avez-vous des doutes? Demandez-le à un enfant il vous le prouvera. Cela lui prendra combien de chutes avant de pouvoir marcher seul sans le soutien d’un parent?
Le 22 octobre 1879, un bricoleur de génie invente l’éclairage électrique.Ce bricoleur autodidacte et surtout déterminé est au nom de Thomas Edison. Le célèbre inventeur a documenté tous ses échecs avant de pouvoir, enfin, réussir son coup de maître en inventant ce que nous lui devons aujourd’hui: l’ampoule électrique. Combien d’échecs avait-il essuyé avant sa réussite magistrale?
Pas moins de 6000!
Etait-ce assez pour que l’ingénieux inventeur jette l’éponge et abandonner ses expériences? Absolument pas. Mieux encore, voici comment il interprétait ce qui représentait à ses yeux le véritable sens de ces multiples essais-erreurs:
Les adultes oublient souvent ce principe de base. Il est temps de se le rappeler: la réussite doit beaucoup à l’échec. Alors la prochaine fois que vous sentez le goût amer de l’échec – quelle que soit la nature de cet échec – pensez plutôt à ce que ma mère m’a appris dès mon très jeune âge (avant de savoir plus tard que Niestsche pensait de même) : Ce qui ne te tue, te renforce.
En d’autres mots, l’échec ne tue pas; il renforce.
Bon succès
M.C.
Et pour cause.
Rares sont les livres qui ont été consacrés en partie ou en totalité à la question de l’échec. Si la majorité des gens sont amenés plus facilement à parler de leurs exploits dans la vie personnelle – éducation des enfants, amour, bien-être, biens matériels, etc.- ou professionnelle – diplômes, carrière, projet, etc., ils sont généralement moins friands à documenter leurs échecs. Il s’agit d’une attitude quasi spontanée. Personne ou presque ne souhaite contribuer naïvement à sa baisse de popularité auprès des siens. Car le succès semble être une affaire d’égo avant d’être le résultat de nos efforts. Ce n’est pas pour rien qu’il est dit: La réussite a beaucoup de parents; l’échec, lui, est orphelin.
Et pourtant.
Je me suis penché sur cette question de l’échec pour tenter d’en comprendre le mécanisme.
En fouillant dans la vie des grands personnages historiques, j’ai été stupéfait en constatant que le plus grand nombre d’entre eux – pour ne pas dire tous sans exception – sont d’abord passés par une série d’échecs dans pratiquement tous les domaines de leurs vies respectives: relations interpersonnelles, familiales, professionnelles, etc!
Mieux encore: la plupart de ces personnalités qui ont marqué l’histoire et qui ont influencé des milliers voire des millions de gens sont devenues ce qu’elles sont aujourd’hui d’abord et avant tout grâce à leurs échecs.
Dans l’un des rares livres consacrés à la question de l’échec, je me souviens d’avoir lu quelque chose du genre:
Si vous n’êtes pas tombé au moins trois fois, c’est que vous n’êtes pas vraiment en train d’essayer.
Cela veut tout dire. Il n’est de réussite possible et permanente sans un échec répétitif. Avez-vous des doutes? Demandez-le à un enfant il vous le prouvera. Cela lui prendra combien de chutes avant de pouvoir marcher seul sans le soutien d’un parent?
Le 22 octobre 1879, un bricoleur de génie invente l’éclairage électrique.Ce bricoleur autodidacte et surtout déterminé est au nom de Thomas Edison. Le célèbre inventeur a documenté tous ses échecs avant de pouvoir, enfin, réussir son coup de maître en inventant ce que nous lui devons aujourd’hui: l’ampoule électrique. Combien d’échecs avait-il essuyé avant sa réussite magistrale?
Pas moins de 6000!
Etait-ce assez pour que l’ingénieux inventeur jette l’éponge et abandonner ses expériences? Absolument pas. Mieux encore, voici comment il interprétait ce qui représentait à ses yeux le véritable sens de ces multiples essais-erreurs:
Je n’ai pas échoué des milliers de fois. J’ai juste trouvé des milliers de manières de ne pas inventer l’ampoule à incandescence.
Les adultes oublient souvent ce principe de base. Il est temps de se le rappeler: la réussite doit beaucoup à l’échec. Alors la prochaine fois que vous sentez le goût amer de l’échec – quelle que soit la nature de cet échec – pensez plutôt à ce que ma mère m’a appris dès mon très jeune âge (avant de savoir plus tard que Niestsche pensait de même) : Ce qui ne te tue, te renforce.
En d’autres mots, l’échec ne tue pas; il renforce.
Bon succès
M.C.
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