تويت
Pour tous ceux qui sentent le temps glisser entre leurs mains et qui se lamentent de la morosité de vie
Beaucoup de ces détails jadis insignifiants
Des dates et des faits vécus dans le passé
Des mots et des paroles qu'on a redit souvent
Surgissent du néant sublimes comme des fées
Des faits solennisés aux coins des souvenirs
Cachés au fond de l'âme pareils aux beaux trésors
Des vifs et tendres riens qu'on a pu retenir
De cette longue vie qu'on plaint et on déplore
Des gouttes que nous comptons souvent et recomptons
De peur que quelques unes se perdent ou s'égarent
Ou que ce loup méchant portant le nom du temps
En fait d'elles des proies grignote et dévore
Un mot qui sort du lot qu'on a jadis redit
Exalte fort le cœur des nuits et des journées
Un nom venu comme ça sans cause à l'esprit
Egaye comme un banquet de joie et de gaieté
Les joies pain de la chance jaloux nous les gardons
Au chaud très enfouies dans l'âtre de nos cœurs
Devant les temps moroses quand souffle en proue le vent
Vers elles on met le cap pour y trouver bonheur
En fait est près de nous la joie qu'on cherche loin
Cette ile au trésor qui hante bien de gens
Dans ces menus détails et dans ces mille riens
Dans tous ces vieux vestiges qui tiennent tête au temps
Beaucoup de ces détails jadis insignifiants
Des dates et des faits vécus dans le passé
Des mots et des paroles qu'on a redit souvent
Surgissent du néant sublimes comme des fées
Des faits solennisés aux coins des souvenirs
Cachés au fond de l'âme pareils aux beaux trésors
Des vifs et tendres riens qu'on a pu retenir
De cette longue vie qu'on plaint et on déplore
Des gouttes que nous comptons souvent et recomptons
De peur que quelques unes se perdent ou s'égarent
Ou que ce loup méchant portant le nom du temps
En fait d'elles des proies grignote et dévore
Un mot qui sort du lot qu'on a jadis redit
Exalte fort le cœur des nuits et des journées
Un nom venu comme ça sans cause à l'esprit
Egaye comme un banquet de joie et de gaieté
Les joies pain de la chance jaloux nous les gardons
Au chaud très enfouies dans l'âtre de nos cœurs
Devant les temps moroses quand souffle en proue le vent
Vers elles on met le cap pour y trouver bonheur
En fait est près de nous la joie qu'on cherche loin
Cette ile au trésor qui hante bien de gens
Dans ces menus détails et dans ces mille riens
Dans tous ces vieux vestiges qui tiennent tête au temps
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